femme kazakh

Il y a peu de gens qui connaissent le Kazakhstan d’une manière certaine: souvent dans des films de guerre c’est un pays où règne le mal. Ou la patrie du journaliste empoté interprêté par le comédiant britannique Sacha Baron Cohen. En réalité, le Kazakhstan c’est le 9ème pays du monde d’après son territoire. C’est le pays développé avec 17 mln d’habitants. Le pays vit grâce à l’extraction et le traitement du pétrole. Et les femmes Kazakh femme kazakh sont très belles. Et elles ressemblent bien aux femmes Russes.

La plus grande ville du pays est Alma-Ata bien que la capitale soit Astana. Astana a été bâti spécialement pour les établissement de l’Etat comme Canberra en Australie. Les femmes Kazakh toutes parlent russe, pas seulement les femmes intellectuelles, enterpreneurs et fonctionnaires mais aussi les paysanes dans des villages lointains du Sud du pays (des villages avec la majorité du peuple Kazakh). La formation supérieur, femme russe musulmane c’est le must pour une femme Kazakh intellectuelle: il y a 148 d’Universités. Cependant, les femmes Kazakh des familles aisées préfèrent faire leurs études en Russie: 25 milles des Kazakh font leurs études en Russie, y compris le niveau Doctorat. Parmi eux sont 1500 qui étudient dans les meilleures Universités de Saint-Pétérbourg, environ 5 milles en Sybérie. Presque 500 personnes étudient dans la fameuse Université de Tomsk, plus que 1500 — dans l’Université technique de Tomsk et plus qu’un mille — https://cqmi.fr à l’Université des systèmes de commandes et de la radiophysique de Tomsk. Entre la Russie et le Kazakhstan passe la plus grande frontière — 7548 km.

Après les études, les femmes Kazakh préfèrent revenir à leur patrie.

Les femmes Kazakh sentent la solitude aussi d’une manière aussi aiguë que les Russes.

Pour un mille des femmes Kazakh il y a 928 hommes (en Russie ce décalage est encore plus considérable). Les femmes Kazakh sont très attachées à leurs traditions: elles tâchent de se marier tôt — à l’âge de 23, 24 ans. Cependant, trouver un homme sûr n’est pas facile pour elles. Le démographe Kazakh Makach Tatimov, partisan du concubinage dit: «Nous avons le manque des hommes, c’est pourquoi l’homme se permet d’avoir plusieurs femmes et faire naître avec elles les enfants… Le mariage officiel ne leur plait pas. Ce n’est que le concubinage qui donnent à l’homme Kazakh toute la liberté d’action et de choix dont il a besoin. Alors, moi, je suis pour ces couples et pour les enfants illégitimes. Le fait est qu’il y a pas mal des vieilles filles (qui n’ont jamais été mariées et sans enfants), leur nombre est 350 milles!» Bien évidemment que ce ne sont pas toutes les femmes Kazakh qui approuvent cette opinion. C’est ainsi que beaucoup de femmes Kazakh cherchent leurs moitiés sur les sites internationaux des rencontres et déménagent en Europe, aux Etats Unis et au Canada.